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Selon cette tradition, les femmes, considérées comme impures durant leurs menstruations, devaient s’isoler dans une maison sans fenêtres à l’écart de leur foyer, et ne pas toucher la nourriture du reste de la famille. Officiellement, cette pratique est interdite depuis 2005, mais aucune loi ne permettait de sanctionner les contrevenants, qui risquent désormais trois mois de prison et une amende de 3 000 roupies (environ 25 euros). Cela ne signifie pas pour autant que la fin de la « chhaupadi » : de nombreuses femmes continuent de s’exiler d’elles-mêmes, par superstition.

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Article initialement publié dans la lettre LaïCités
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