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Ce comité, composé de 14 représentants d’institutions et de 13 chercheurs, a pour objectif de faciliter les échanges entre le monde de la recherche et les décideurs politiques sur les sujets de radicalisation.

Le Cosprad est l’héritier du « Conseil scientifique sur les processus de radicalisation » institué par décret en 2017. Il permettra à des chercheurs accrédités d’avoir accès aux 11 000 fiches du Fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) du Ministère de l’Intérieur. La ministre de l’Enseignement supérieur a aussi annoncé le financement de 5 doctorats sur les sujets de radicalisation. Le Cosprad est présidé par le Premier ministre. Son vice-président est le président de l’Université Paris-Nanterre, Jean-François Balaudé.

Pour augmenter le nombre de recherches en lien avec l’islam, il existe aussi un appel à projet « Islam, Religions et Société » du ministère de l’Intérieur depuis 2015. Il vise à financer des travaux de recherches, notamment des enquêtes de terrain. Les dossiers sont sélectionnés par un conseil scientifique composé d’universitaires.

Article initialement publié dans la lettre LaïCités
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